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Purée de pommes de terre au persil
Bonjour à vous les aminautes , si vous voulez changer la couleur de votre purée pour changer un peu voici la recette facile .Ingrédients pour 4 personnes:
500 gr de pommes de terre
1 grosse botte de persil plat
1 poireau
1 verre de lait
Du sel ( selon le gout , moi je ne sale jamais )
2 belles cuilléres à soupe de beurre
Epluchez les pommes de terre et lavez les , lavez également le persil et hachez le grossiérement, , lavez le poireau et tronçonnez le , mettez le tout dans une grande casserole d'eau , ajoutez du sel et laissez cuire 30 mn . Egouttez le tout et passer au moulin à légumes ,remettez la purée sur le feu et ajoutez le lait et le beurre en remuant énergiquement avec une cuillére en bois pour que la purée soit lisse, servez avec une viande au choix ( poulet , boudin etc...) les enfants apprécient la couleur verte et les grands aussi ! Bonne journée à vous , amitié
Recette trouvée sur le magasine Fémina ,la photo n'est pas la mienne j'ai oublié de la faire
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Commentaires
Bonjour Maria,
Une bonne purée qui change de la classique.
Le temps est gris ici.
On reste à la maison et on se repose un peu.
Bon week-end
Bisous, amitiés à Michel
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cool....
je prépare cela demain...je vais me faire massacrer par une des petites..n'aime pas la purée...et
encore moins la verdure...galère....
Ils sont si bien élevés, les gosses qui meurent de faim :
ils ne parlent pas la bouche pleine, ils ne gâchent pas leur pain,
ils ne jouent pas avec la mie de pain pour en faire des boulettes,
ne font pas de petits tas au bord de leur assiette, ne font pas de caprices,
ne disent pas "J’aime pas ça !", ne font pas la grimace quand on enlève un plat...
Eux, ils ne trépignent pas pour avoir des bonbons, ne donnent pas aux chiens le gras de leur jambon, ne courent pas dans vos jambes, ne grimpent pas partout... Ils ont le coeur si lourd et le corps si faible qu’ils vivent à genoux...
Pour avoir leur repas, ils attendent sagement...
Ils pleurent quelquefois, quand ça dure trop longtemps...
Non, non, rassurez-vous, ils ne vont pas crier, ces petits-là, il sont si bien élevés...
Ils pleurent sans bruit, on ne les entend pas, ils sont si petits qu’on ne les voit même pas, ils savent qu’ils ne peuvent rien attendre de leur mère et de leur père.
Ils cherchent stoïquement leur riz dans la poussière.
Mais ils ferment les yeux quand l’estomac se tord, quand la douleur atroce irradie tout leur corps.
Non, non, soyez tranquilles, ils ne vont pas crier, ils n’en ont plus la force.
Seuls leurs yeux peuvent parler... Ils vont croiser leurs bras sur leur ventre gonflé. Ils vont prendre la pose pour faire un bon cliché...
Ils mourront ducement, sans bruit, sans déranger...
Ces petits enfants-là... Ils sont si bien élevés.
Oui, ils sont si bien élevés les gosses qui meurent de faim !
François Devillet